Construire une villa en partant de zéro, à partir de la simple possession d’un terrain, est souvent un choix préférable à l’achat classique. Voici tout ce que vous devez savoir, en mettant l’accent sur les réglementations, les procédures à suivre, les coûts et les meilleurs moyens d’économiser de l’argent.
Construire une villa à partir de rien présente de nombreux avantages par rapport à l’achat d’une villa ou d’un appartement existant. C’est évident : pouvoir décider librement, dans certaines limites, des dimensions, des matériaux et des finitions est une source d’attraction. Toutefois, une précision s’impose : la construction d’une villa implique le respect d’obligations et de charges bureaucratiques d’une certaine gravité. La réglementation est en effet très complexe et doit être traitée de manière experte. C’est la raison pour laquelle certains investisseurs préfèrent les offres de villa à vendre à Eze ou ailleurs lorsqu’ils souhaitent avoir une propriété de luxe.
Le point de référence réglementaire, lorsqu’il s’agit de construire une villa (comme tout autre type de bâtiment), la réglementation environnementale. Il définit clairement la délivrance des permis. D’une manière générale, les principales exigences pour construire une villa ou un appartement sur un terrain sont au nombre de deux. D’abord, le terrain doit être constructible. Ensuite, le plan de zonage n’interdise pas la construction dans la zone où se trouve le terrain.
Les techniques de construction, à y regarder de plus près, sont l’apanage des experts ou, plus généralement, de l’entreprise de construction. De manière générale, il existe plusieurs approches. Une technique, plus datée, consiste en une construction qui considère des éléments tels que l’efficacité énergétique et l’antisismicité comme des non-priorités. Plus moderne, elle vise un rendement maximal du point de vue énergétique et offre des garanties maximales du point de vue sismique.
Le choix des matériaux est plutôt difficile, notamment parce qu’il est moins trivial qu’il n’y paraît. Les alternatives, si l’on exclut les finitions, qui représentent un chapitre à part, sont au nombre de deux : le béton armé et le bois. Le béton armé est le choix classique. Si d’un côté il donne de la solidité, de l’autre il se caractérise par des lacunes en termes d’isolation et de résistance aux tremblements de terre. Paradoxalement, le bois coûte plus cher. Il est toutefois est adapté aux constructions antisismiques et constitue, après tout, un isolant naturel.
Du point de vue du constructeur, les étapes, bien que longues et pas faciles à réaliser, sont peu nombreuses.